Alors qu’en Janvier 1945, la guerre a toujours lieu en Europe et à quelques semaines de prendre fin, les troupes alliées ont déjà traversées la France et le front se porte actuellement sur l’offensive des Ardennes.
Si les soldats américains ont eu dans leurs paquetages des livrets explicatifs sur la France et les Français, (vous pouvez l’analyse d’un de ces modèle sur ce site à cette PAGE), et qui est rappelons le, bourré de clichés pour la plupart amusant… Les Français eux découvrent avec la libération le peuple américains à travers ses soldats, et se posent beaucoup de question sur ces amis de toujours dont ils n’ont que des brides d’informations à travers la presse papier ou radiophonique.
Ainsi, Charles Cestre (1871-1958), un professeur de Littératures et de civilisation américaine à la Faculté de Lettres de Paris décide de publier un livret sur et intitulés « Les américains ».
Ce livret est édité par Perhis pour les éditions Larousse durant le 1e Trimestre 1945 (le dépôt légales ayant été effectué en Janvier 1945). Il mesure 11 cm de largeurs par 17cm de hauteurs, 64 pages, il est broché et seule la couverture est en couleur et qui rappelle le drapeau américain.
J’ai trouvé mon exemplaire dans le Michigan, (et j’en ait été bien surpris…), malheureusement, vieux de 71 ans, il a souffert de ses conditions d’entreposages.. Le livre est jaunis, les pages sont sèches et fragiles, la couverture qui était au ¾ détaché, n’a mis que quelques minutes en dehors de son rayonnage pour finir par devenir une feuille volante. Vous l’aurez compris, il n’est pas en très bonne condition, mais j’y attache une autre valeur : celui d’avoir trouvé ce livret parisien de 71 ans, dans un bazar d’une petite ville des Etats-Unis… Je me demande toujours qu’elle a été son histoire pour venir jusqu’ici... Un soldat qui ramena le livret en souvenir, un collectionneur francophile qui se le procura et qui fût ″mis au clou″ par les générations suivantes histoires de ce faire quelques petits billets…
Je vous propose donc aujourd’hui, une analyse critique et constructive de ce livret comme je l’avais fait pour le livret américain sur les français.
Tous d’abord on sent à la lecture que l’analyse effectué est très française, académique et … qu’elle sent bon la propagande. En ce début d’année, si le conflit n’est plus à 90% sur le territoire français, il y a beaucoup de soldat américains sur notre sol, que ce soit en réserves, en permission ou des bases arrière du front des Ardennes. Il est donc logiquement important que les français gardent une bonne image des américains, car ils sont là encore pour un bon moment !
Mais à la lecture du livre, on sent que l’auteur, bien que spécialisé sur le sujet, est « très enthousiaste » envers la culture américaine et parfois fait quelques raccourcis facile et effectue quelques omissions bien réglés pour donner une image ″presque″ parfaite du modèle américain.
Plusieurs thèmes principaux sont abordés : l’histoire américaine, l’éducation, le travail, la politique et la religion. Ici nous ne traiterons pas des 64 pages complètes, car cet article serait bien trop volumineux, mais nous aborderons les grandes lignes seulement, ce qui sera suffisant pour se donner une idée de ce livret.
La préface :
La préface se veut comparative sur ce monde moderne, des progrès et de la vitesse, mais à comparer l’incomparable, il donne plus une vision étriquer et fausses du parallèle franco-américain. En effet, tous y est mélanger : le droit des femmes (des jeunes filles) qui ont certes bien évolués depuis 1900 mais qui est encore toute relative à cette époque... Surtout qu’elle a fait de plus grand progrès outre-Atlantique que sur le vieux continent… Puis sans raison apparente, sauf celle de faire une métaphore sur la technologie et la vitesse, ont passent sur les corbillards automobiles pour ensuite revenir sur les enfants. Ces derniers sujet est aussi à caution, car l’auteur fait le parallèle entre les petits américains qui effectue des petits jobs à leurs homologues français qui en font de même… Mais là encore le raccourci est peut-être un peu trop rapide… Si les premiers le font pour l’argent de poche, du moins pour la classe moyenne, les enfants américains de la population pauvre, n’ont pas le choix de travailler aussi dur que leurs parents…Et c’est un peu ce qui se passe avec les enfants français…Si ils se mettent au trocs/marché noirs, c’est surtout pour survivre ou aidé leurs familles, la France a été sous restriction (et l’est encore d’ailleurs en 1945) durant près de 4 ans et les enfants ne sont pas jamais bien étranger à quelques petits surplus alimentaires, même aussi minimes soit il…Alors de là à affirmer qu’ils découvrent joyeusement les prémices du marchés du travail… Mais l’auteur finit par nous emmenez directement à son but après presque 2 pages : que la si jeune civilisation américaine est tant en avance sur le vieux monde, respectueux des libertés et de la justice et que c’est pour ça que l’Amérique entrepris une croisade pour défendre ses valeurs….
On y est ! On commence déjà à humer le doux parfum de la propagande et les raccourcis graveleux qui nous mènent sur la voie paradisiaque d’un pays où tout est beau et parfait. Mais qu’on ne s’y m’éprenne pas ! Au moment où j’écris ces lignes j’habite aux U.S.A et j’apprécie cette expérience, mais ces critiques qui ne concernent que cet ouvrage, se veulent constructives et non gratuites pour alimenter un quelconque anti-américanisme primaire….
Chapitre I :
Les Origines, Le milieu, les figures.
Ce chapitre débute par une histoire raccourcis de la colonisation anglaise des Puritains du nouveau monde, avec l’arrivé dans ce qui deviendra le Massachussetts et la ville de Boston. Ces ″pauvres″ puritains étaient persécutés en Angleterre à cause de leurs visions strict de la religion et allèrent s’installer sur cette nouvelle terre qui n’était peuplé que de ″rares indiens dispersés″ (mais bien sur…), mais les pauvres puritains avaient du mal à se nourrir et à se défendre contre les indiens… Ils ne devront leurs saluts qu’à l’arrivée massive d’autres immigrants … Ils auraient préféré les dangers de l’océan, de contrée inexploré plutôt que de courber l’échine sous le joug de leurs persécutions… Le portrait de ces premiers colons est plutôt flatteurs même si finalement après être passé du colons américains aux Capitalisme en 2 phrases ont rappelé que les immigrants et ouvriers actuels (1945) sont bien moins loties dans la répartitions des richesses de cette grande nation… Le descriptifs qui s’en suit sur la société américaine est assez étonnant… Entre 2 vérités plutôt justes, ce trouvent des énormités sans noms…
Si les soldats américains ont eu dans leurs paquetages des livrets explicatifs sur la France et les Français, (vous pouvez l’analyse d’un de ces modèle sur ce site à cette PAGE), et qui est rappelons le, bourré de clichés pour la plupart amusant… Les Français eux découvrent avec la libération le peuple américains à travers ses soldats, et se posent beaucoup de question sur ces amis de toujours dont ils n’ont que des brides d’informations à travers la presse papier ou radiophonique.
Ainsi, Charles Cestre (1871-1958), un professeur de Littératures et de civilisation américaine à la Faculté de Lettres de Paris décide de publier un livret sur et intitulés « Les américains ».
Ce livret est édité par Perhis pour les éditions Larousse durant le 1e Trimestre 1945 (le dépôt légales ayant été effectué en Janvier 1945). Il mesure 11 cm de largeurs par 17cm de hauteurs, 64 pages, il est broché et seule la couverture est en couleur et qui rappelle le drapeau américain.
J’ai trouvé mon exemplaire dans le Michigan, (et j’en ait été bien surpris…), malheureusement, vieux de 71 ans, il a souffert de ses conditions d’entreposages.. Le livre est jaunis, les pages sont sèches et fragiles, la couverture qui était au ¾ détaché, n’a mis que quelques minutes en dehors de son rayonnage pour finir par devenir une feuille volante. Vous l’aurez compris, il n’est pas en très bonne condition, mais j’y attache une autre valeur : celui d’avoir trouvé ce livret parisien de 71 ans, dans un bazar d’une petite ville des Etats-Unis… Je me demande toujours qu’elle a été son histoire pour venir jusqu’ici... Un soldat qui ramena le livret en souvenir, un collectionneur francophile qui se le procura et qui fût ″mis au clou″ par les générations suivantes histoires de ce faire quelques petits billets…
Je vous propose donc aujourd’hui, une analyse critique et constructive de ce livret comme je l’avais fait pour le livret américain sur les français.
Tous d’abord on sent à la lecture que l’analyse effectué est très française, académique et … qu’elle sent bon la propagande. En ce début d’année, si le conflit n’est plus à 90% sur le territoire français, il y a beaucoup de soldat américains sur notre sol, que ce soit en réserves, en permission ou des bases arrière du front des Ardennes. Il est donc logiquement important que les français gardent une bonne image des américains, car ils sont là encore pour un bon moment !
Mais à la lecture du livre, on sent que l’auteur, bien que spécialisé sur le sujet, est « très enthousiaste » envers la culture américaine et parfois fait quelques raccourcis facile et effectue quelques omissions bien réglés pour donner une image ″presque″ parfaite du modèle américain.
Plusieurs thèmes principaux sont abordés : l’histoire américaine, l’éducation, le travail, la politique et la religion. Ici nous ne traiterons pas des 64 pages complètes, car cet article serait bien trop volumineux, mais nous aborderons les grandes lignes seulement, ce qui sera suffisant pour se donner une idée de ce livret.
La préface :
La préface se veut comparative sur ce monde moderne, des progrès et de la vitesse, mais à comparer l’incomparable, il donne plus une vision étriquer et fausses du parallèle franco-américain. En effet, tous y est mélanger : le droit des femmes (des jeunes filles) qui ont certes bien évolués depuis 1900 mais qui est encore toute relative à cette époque... Surtout qu’elle a fait de plus grand progrès outre-Atlantique que sur le vieux continent… Puis sans raison apparente, sauf celle de faire une métaphore sur la technologie et la vitesse, ont passent sur les corbillards automobiles pour ensuite revenir sur les enfants. Ces derniers sujet est aussi à caution, car l’auteur fait le parallèle entre les petits américains qui effectue des petits jobs à leurs homologues français qui en font de même… Mais là encore le raccourci est peut-être un peu trop rapide… Si les premiers le font pour l’argent de poche, du moins pour la classe moyenne, les enfants américains de la population pauvre, n’ont pas le choix de travailler aussi dur que leurs parents…Et c’est un peu ce qui se passe avec les enfants français…Si ils se mettent au trocs/marché noirs, c’est surtout pour survivre ou aidé leurs familles, la France a été sous restriction (et l’est encore d’ailleurs en 1945) durant près de 4 ans et les enfants ne sont pas jamais bien étranger à quelques petits surplus alimentaires, même aussi minimes soit il…Alors de là à affirmer qu’ils découvrent joyeusement les prémices du marchés du travail… Mais l’auteur finit par nous emmenez directement à son but après presque 2 pages : que la si jeune civilisation américaine est tant en avance sur le vieux monde, respectueux des libertés et de la justice et que c’est pour ça que l’Amérique entrepris une croisade pour défendre ses valeurs….
On y est ! On commence déjà à humer le doux parfum de la propagande et les raccourcis graveleux qui nous mènent sur la voie paradisiaque d’un pays où tout est beau et parfait. Mais qu’on ne s’y m’éprenne pas ! Au moment où j’écris ces lignes j’habite aux U.S.A et j’apprécie cette expérience, mais ces critiques qui ne concernent que cet ouvrage, se veulent constructives et non gratuites pour alimenter un quelconque anti-américanisme primaire….
Chapitre I :
Les Origines, Le milieu, les figures.
Ce chapitre débute par une histoire raccourcis de la colonisation anglaise des Puritains du nouveau monde, avec l’arrivé dans ce qui deviendra le Massachussetts et la ville de Boston. Ces ″pauvres″ puritains étaient persécutés en Angleterre à cause de leurs visions strict de la religion et allèrent s’installer sur cette nouvelle terre qui n’était peuplé que de ″rares indiens dispersés″ (mais bien sur…), mais les pauvres puritains avaient du mal à se nourrir et à se défendre contre les indiens… Ils ne devront leurs saluts qu’à l’arrivée massive d’autres immigrants … Ils auraient préféré les dangers de l’océan, de contrée inexploré plutôt que de courber l’échine sous le joug de leurs persécutions… Le portrait de ces premiers colons est plutôt flatteurs même si finalement après être passé du colons américains aux Capitalisme en 2 phrases ont rappelé que les immigrants et ouvriers actuels (1945) sont bien moins loties dans la répartitions des richesses de cette grande nation… Le descriptifs qui s’en suit sur la société américaine est assez étonnant… Entre 2 vérités plutôt justes, ce trouvent des énormités sans noms…
Ces différences sont gigantesques et existent encore aujourd’hui… Et l’Europe n’a rien à envier aux U.S.A sur certains points dont celles des conditions de travails… Les ouvriers français se sont battus pour obtenir des droits que n’ont pas leurs homologues américains…
Mieux:
Mieux:
Alors là, en tant qu’expatrier, je dois avouer que je me suis en position latérale de sécurité au fond de ma douche en lisant ceci. Le pourboire (gratuity ou tip en anglais) est la seule source de revenus pour les serveurs et le personnel d’hôtel et un supplément fort appréciables pour les travailleurs à faibles revenues comme les chauffeurs de taxis etc… Et ce n’est en aucun cas, au grand jamais, de la charité faite à ces pauvres bougres, mais juste une reconnaissance de leur travail…
Quant aux mendiants ou à l’exemple de la crise de 1929….
Des images valent mieux que des paroles:
Quant aux mendiants ou à l’exemple de la crise de 1929….
Des images valent mieux que des paroles:
Reprenons la lecture par:
L’égalité est tellement atmosphérique qu’à cette période les noirs sont appelé Negro (termes d’ailleurs employé dans le livre) ou Colored People…Que la ségrégation est d’actualité et que si les « colorés » sont admissible dans l’armée, en de très rare cas ils ne peuvent pas faire partit de troupes combattantes pour la majorité des cas (et ces quelques exceptions cependant se sont fait brillamment remarqué !!). Les sino-américains qui ont été déportés ou chassé des villes après l’attaque de Pearl Arbor doivent apprécier l’ironie de cette phrase…
S’ensuit une tirade plutôt juste sur les jobs étudiants et les valeurs du travail américain ainsi que l’importance de l’œuvre américaine sur son propre continent avec l’ouverture de chemin de fer, le franchissement des Appalaches, le lac supérieur, les montagnes rocheuses etc…Cette tirade est tellement bien vendu qu’on en oublierait presque que cela c’est pas fait grâce à un travail volontaire et bien rémunéré d’une classe ouvrière (suivez mon regard)… L’auteur revient sur ces peuplades qui vinrent trouvés joie, bonheur et fortune sur cette terre propice en affirmant d’ailleurs que les Français ne furent jamais venus en quantités… Certes… Mais suffisamment pour laisser une trace impérissable dans la culture américaine avec les explorateurs, les immigrants, les trappeurs et les soldats durant la guerre d’indépendance… Mais comme toujours dans son discours, même si le ton général est la vente et la surenchère de ce glorieux et grande démocratie qu’est l’Amérique, afin d’offrir quelques rapides exemples de choses qui sont bien moins glorieux… Et je vous laisse découvrir le double sens des lignes qui suivent :
Et oui… Et si vous trouvez que cette partie de texte est teintée de clichés sur les afro-américains et un léger voile de racisme, ce point n’est pas dissimulé puisqu’il continue sans sourciller par :
Voilà, voilà… Charmant monsieur….
Le reste de la partie de l’immigration est traité (et que pour la ″race″ blanche…) Et on arrive rapidement au Germano-américains…. Si les noirs ne sont pas son sujet préféré, les allemands le sont encore moins…. Il débute les hostilités avec ″La propagande pangermanique du temps de Guillaume II, naziste du temps de Hitler, ne les a pas laissés insensibles″
Pour rappel, bien que l’antisémitisme de Guillaume II fût connu et qu’il se félicita de la vengeance sur la France, il était farouchement contre le nazisme. Il désapprouva notamment les lois anti-juive, lors de la nuit de cristal, il alla jusqu’à dire qu’il avait honte d’être allemand… On ne s’étendra guère plus sur le sujet, mais on soulignera le raccourci historique qui l’arrange dans ces propos… Mais ce n’est que le début puisqu’ensuite il enchaine sur le fait que les germano-américains au sein des grandes villes comme Chicago eurent la possibilité de faire une très mauvaise presse à la France par vengeance au traité de Versailles en 1919… Et que par ces campagnes de presse, fût aussi retardée l’intervention des Etats-Unis dans cette guerre…et il n’y a aucune limite à ses allégation puisqu’il affirme même que ″dit-on″ les soldats américains auraient une certaine indulgence envers les soldats allemands, malgré les atrocités commises, car les rangs de l’armée américaine seraient remplie de germano-américains…
Il part aussi rapidement sur un autre sujet : la différence entre la modernité américaine et les traditions française avec son retard technologique, que l’américain aura du mal a sondé le français durant le court temps où il sera sur place, à comprendre l’orgueil national, l’harmonie et les mœurs françaises…
Chapitre II :
l’américain chez lui
Le chapitre démarre sur la vie des américains, notamment des fermiers qui auraient tous, une large maison bien entretenues alors que les villes américaines ont un ″charme″ esthétique malgré leurs aspects « irréguliers et déplaisant » du centre-ville. Si les riches ont des demeures avec parc, les bourgeois et ouvriers se contentent de maisons plus modestes, mais toutes ont un jardin etc… A le lire, on pourrait penser que les bourgeois et les ouvriers habitent les mêmes quartiers…. En réalité, aujourd’hui comme hier, l’état de la maison laisse entrevoir la Classe Sociale des propriétaires... tous dépend des moyens a mettre dans les diverses réparations et entretiens… Les clichés débutent et vont bon train surtout du côté des citadins, qui résident dans des immeubles de 5 à 8 étages (attention visiblement c’est une moyenne pour une classe sociale…), l’entrée est dépourvue d’un concierge mais chaque appartement à un téléphone interne et privatif pour que le visiteur s’identifie lui-même… Bien que l’on ne le comprenne qu’après la lecture du reste du sujet, notre bon professeurs ratisse des plus hautes sphères jusqu’au ras du sol, nous serons donc à ce niveau au top des interphones de riches, bien que ce système à dût être présent dans quelques immeuble et notre bon professeurs par un raccourci dont il connait le secret, le fait passé pour une généralité… Comme il dit lui-même à ce sujet : ″Simplicité, économie et discrétion″.
Pire encore pour les ″maisons″ de 10, 15 ou 20 étages (visiblement ont descend d’une classe sociale pour attendre vraisemblablement la petite bourgeoisie) , il y a deux ascenseurs qui sont ″manœuvré par des nègres″ (hummm le bon relent de racisme qui fleurs dans ces pages...).
Si les précédentes classes n’étaient pas mentionnées, on arrive à ce qu’il appelle ″les gens simples″ : les pauvres quoi… c’est la majorité de la population, ils ″n’ont pas de domestiques″ (étrange n’est-ce pas ? ou alors ils sont blancs, mais c’est la honte…), ces gens simples dans leurs vie de tous les jours se partage les tâches : ″madame à la cuisine et au ménage, monsieur au parquet et à la vaisselle″, mais grâce au machines domestiques : aspirateurs et autres brosse électrique c’est quand même plus simple (faut pas pousser non plus… ) Puis il enchaîne sur les enfants, les familles de gens simples, n’ont pas les moyens d’entretenir des enfants, ils se limiteraient donc à un ou deux, comme en France affirme-t-il d’ailleurs… Et ces enfants, sont turbulents, maître en leurs foyers et les parents en sont d’autant plus ravie quand ils atteignent l’âge d’aller à l’école pour s’en débarrasser un peu et pouvoir souffler, visiblement cela est une réaction typiquement américaine. S’en suit l’adolescence et l’argent de poche puis le mariage. Le divorce étant plus fréquent aux U.S.A il n’en faut pas plus pour que notre professeur en déduise une grande liste qui prouve l’instabilité de l’Amérique.. Mais dieu merci, il enchaîne sur les couples dans les milieux aisées, le problème ne serait pas le même puisque ces personnes ont de l’éducation ! Le milieu bourgeois américains est sans nul doute, la partie préféré de Charles Cestre ! Que de grand mots et de florilège pour cette classe sociale : cultivé, études supérieurs, Universités, les affaires, connaissances littéraires et artistiques, sait tenir et dirigé une conversation, goûts distingués etc etc… Mais attention si dans le couple aisée de cette classe, tout est parfait, il lui est toute de même utile de préciser :
Le reste de la partie de l’immigration est traité (et que pour la ″race″ blanche…) Et on arrive rapidement au Germano-américains…. Si les noirs ne sont pas son sujet préféré, les allemands le sont encore moins…. Il débute les hostilités avec ″La propagande pangermanique du temps de Guillaume II, naziste du temps de Hitler, ne les a pas laissés insensibles″
Pour rappel, bien que l’antisémitisme de Guillaume II fût connu et qu’il se félicita de la vengeance sur la France, il était farouchement contre le nazisme. Il désapprouva notamment les lois anti-juive, lors de la nuit de cristal, il alla jusqu’à dire qu’il avait honte d’être allemand… On ne s’étendra guère plus sur le sujet, mais on soulignera le raccourci historique qui l’arrange dans ces propos… Mais ce n’est que le début puisqu’ensuite il enchaine sur le fait que les germano-américains au sein des grandes villes comme Chicago eurent la possibilité de faire une très mauvaise presse à la France par vengeance au traité de Versailles en 1919… Et que par ces campagnes de presse, fût aussi retardée l’intervention des Etats-Unis dans cette guerre…et il n’y a aucune limite à ses allégation puisqu’il affirme même que ″dit-on″ les soldats américains auraient une certaine indulgence envers les soldats allemands, malgré les atrocités commises, car les rangs de l’armée américaine seraient remplie de germano-américains…
Il part aussi rapidement sur un autre sujet : la différence entre la modernité américaine et les traditions française avec son retard technologique, que l’américain aura du mal a sondé le français durant le court temps où il sera sur place, à comprendre l’orgueil national, l’harmonie et les mœurs françaises…
Chapitre II :
l’américain chez lui
Le chapitre démarre sur la vie des américains, notamment des fermiers qui auraient tous, une large maison bien entretenues alors que les villes américaines ont un ″charme″ esthétique malgré leurs aspects « irréguliers et déplaisant » du centre-ville. Si les riches ont des demeures avec parc, les bourgeois et ouvriers se contentent de maisons plus modestes, mais toutes ont un jardin etc… A le lire, on pourrait penser que les bourgeois et les ouvriers habitent les mêmes quartiers…. En réalité, aujourd’hui comme hier, l’état de la maison laisse entrevoir la Classe Sociale des propriétaires... tous dépend des moyens a mettre dans les diverses réparations et entretiens… Les clichés débutent et vont bon train surtout du côté des citadins, qui résident dans des immeubles de 5 à 8 étages (attention visiblement c’est une moyenne pour une classe sociale…), l’entrée est dépourvue d’un concierge mais chaque appartement à un téléphone interne et privatif pour que le visiteur s’identifie lui-même… Bien que l’on ne le comprenne qu’après la lecture du reste du sujet, notre bon professeurs ratisse des plus hautes sphères jusqu’au ras du sol, nous serons donc à ce niveau au top des interphones de riches, bien que ce système à dût être présent dans quelques immeuble et notre bon professeurs par un raccourci dont il connait le secret, le fait passé pour une généralité… Comme il dit lui-même à ce sujet : ″Simplicité, économie et discrétion″.
Pire encore pour les ″maisons″ de 10, 15 ou 20 étages (visiblement ont descend d’une classe sociale pour attendre vraisemblablement la petite bourgeoisie) , il y a deux ascenseurs qui sont ″manœuvré par des nègres″ (hummm le bon relent de racisme qui fleurs dans ces pages...).
Si les précédentes classes n’étaient pas mentionnées, on arrive à ce qu’il appelle ″les gens simples″ : les pauvres quoi… c’est la majorité de la population, ils ″n’ont pas de domestiques″ (étrange n’est-ce pas ? ou alors ils sont blancs, mais c’est la honte…), ces gens simples dans leurs vie de tous les jours se partage les tâches : ″madame à la cuisine et au ménage, monsieur au parquet et à la vaisselle″, mais grâce au machines domestiques : aspirateurs et autres brosse électrique c’est quand même plus simple (faut pas pousser non plus… ) Puis il enchaîne sur les enfants, les familles de gens simples, n’ont pas les moyens d’entretenir des enfants, ils se limiteraient donc à un ou deux, comme en France affirme-t-il d’ailleurs… Et ces enfants, sont turbulents, maître en leurs foyers et les parents en sont d’autant plus ravie quand ils atteignent l’âge d’aller à l’école pour s’en débarrasser un peu et pouvoir souffler, visiblement cela est une réaction typiquement américaine. S’en suit l’adolescence et l’argent de poche puis le mariage. Le divorce étant plus fréquent aux U.S.A il n’en faut pas plus pour que notre professeur en déduise une grande liste qui prouve l’instabilité de l’Amérique.. Mais dieu merci, il enchaîne sur les couples dans les milieux aisées, le problème ne serait pas le même puisque ces personnes ont de l’éducation ! Le milieu bourgeois américains est sans nul doute, la partie préféré de Charles Cestre ! Que de grand mots et de florilège pour cette classe sociale : cultivé, études supérieurs, Universités, les affaires, connaissances littéraires et artistiques, sait tenir et dirigé une conversation, goûts distingués etc etc… Mais attention si dans le couple aisée de cette classe, tout est parfait, il lui est toute de même utile de préciser :
Vient ensuite les divertissements: Music-Hall, Cinéma, Opéra, Symphonie...Mais ceux-ci ne sont valable que pour les bourgeois car:
(Les pauvres, excusez-moi : les gens simples sont trop idiots et pas assez éduquez pour appréciez ces divertissements)
Et la lecture ? Et bien elle aussi est réservée aux classes aisées, car même dans les années 40’ il n’y a pas de livres à petit budget aux Etats-Unis… que des belles reliures, sur du beau papier donc comme il le dit : ″la lecture est l’apanage des classes aisées″. Non mais ! Il ne manquerait plus que les gens simples puissent aussi lire et par la même occasion s’instruire…
D’ailleurs Mr Cestre indique qu’aux Etats-Unis, il y a des bibliothèques où l’on peut emprunter des livres et les emmener chez soi ! Ça a dut faire un choc aux français cette nouvelles !
Par ailleurs, il y a aussi des journaux : 16 pages la semaine, 200 le dimanche !! Rien que ça Mesdames, Messieurs ! 200 pages le journal !! Certes les journaux le dimanche sont très épais, mais de là a en éditer un roman…
Puis on enchaîne sur les clubs et notamment leurs œuvres sociales, bon en même temps notre bon professeur avoue qu’au U.S.A, il y a pas de Pauvres vraiment dénués…
Et la lecture ? Et bien elle aussi est réservée aux classes aisées, car même dans les années 40’ il n’y a pas de livres à petit budget aux Etats-Unis… que des belles reliures, sur du beau papier donc comme il le dit : ″la lecture est l’apanage des classes aisées″. Non mais ! Il ne manquerait plus que les gens simples puissent aussi lire et par la même occasion s’instruire…
D’ailleurs Mr Cestre indique qu’aux Etats-Unis, il y a des bibliothèques où l’on peut emprunter des livres et les emmener chez soi ! Ça a dut faire un choc aux français cette nouvelles !
Par ailleurs, il y a aussi des journaux : 16 pages la semaine, 200 le dimanche !! Rien que ça Mesdames, Messieurs ! 200 pages le journal !! Certes les journaux le dimanche sont très épais, mais de là a en éditer un roman…
Puis on enchaîne sur les clubs et notamment leurs œuvres sociales, bon en même temps notre bon professeur avoue qu’au U.S.A, il y a pas de Pauvres vraiment dénués…
Et oui, grâce à ces bons et généreux bourgeois, la misère sociale à été en passe d’être éradiquée ! il y avait plus de 2 000 000 de sans-abris qui traversait le pays en 1930, ¼ de la population active fût au chômage en 1933 et la grande dépression n’a pris fin qu’en décembre 1941 avec l’attaque de Pearl Harbor et l’entrée en guerre des Etats-Unis…. Donc non, l’emploi de milliers d’hommes dans les rang de l’armée et la production intensive d’armes et de munitions n’est pour rien dans la résolution de la grande dépression, mais ce sont les bourgeois qui se sont associés et qui ont réussi cela.
Comme annoncée, la classe aisée est le sujet préféré du professeurs et il en rajoute ensuite une couche sur la généreuse et accueillante hospitalité américaine : bougie, table en acajou, cadeau sous la serviette etc etc… les grandes réceptions et les Surprise-Party.. dont d’ailleurs il souligne qu’il a été invité dans l’une d’entre elle…
Est-ce finalement l’Amérique qu’il décrit où seulement la famille fortuné où il passa un séjour ?
Le chapitre se termine par un petit panflet sur la politique, dont le sujet est a venir, dont les membres sont médiocrement estimés, mis à part 2 présidents, le maire de New-York, un gouverneur (tous républicains, mais c’est surement un détail…)
Chapitre III :
L’américain à L’école :
Comme annoncée, la classe aisée est le sujet préféré du professeurs et il en rajoute ensuite une couche sur la généreuse et accueillante hospitalité américaine : bougie, table en acajou, cadeau sous la serviette etc etc… les grandes réceptions et les Surprise-Party.. dont d’ailleurs il souligne qu’il a été invité dans l’une d’entre elle…
Est-ce finalement l’Amérique qu’il décrit où seulement la famille fortuné où il passa un séjour ?
Le chapitre se termine par un petit panflet sur la politique, dont le sujet est a venir, dont les membres sont médiocrement estimés, mis à part 2 présidents, le maire de New-York, un gouverneur (tous républicains, mais c’est surement un détail…)
Chapitre III :
L’américain à L’école :
Le ton est donné : d’ailleurs s’en suit quelques lignes sur la création de Harvard… puis un bref résumé sur l’école américaine et le principe des jeux et les classes pour adultes (ouvrier bien entendu, qui nécessite d’apprendre l’anglais pour les migrants et remettre à niveau les esprits qui ont été intellectuellement délaissé…Après quelques lignes sur les migrants et ouvriers au cours du soir, on revient sur les différents types d’école et le système américains. Sur ces points on n’alourdira pas cet article à débattre sur la véracité de toutes les infos, certaines sont correctes, d’autre sont quelques raccourcis facile.
Chapitre IV :
L’américain au travail
On démarre fort avec l’exemple de la machine de guerre américaine : là où l’Allemagne à mis 20 ans à cumuler chars et avions, les U.S.A ont mis seulement quelques mois ! Ce qui n’est pas totalement faux techniquement, mais par un de ces raccourcis aux petits oignons, dit-il visiblement sans sourciller, que l’Amérique n’avait pas d’armée avant l’entrée en guerre ! Les américains ont dût l’apprécier celle-là. A contrario, s’il y a bien une armée en tant de paix, toutes les unités n’étaient pas encore équipées de véhicules blindées et d’armes de derniers cris. Je pourrais citez par exemple quelques unités de cavalerie dont la moitié de l’effectif était monté sur des chars légers et l’autre moitié… sur des chevaux et qui ont bien failli être déployé dans cette configuration...
Mais par un autre raccourcis, le professeur avance fermement que cela fût possible parce que le pays à en abondance toutes les matières première nécessaire pour cela, là encore c’est un raccourci quelques peu facile, effectivement si en tant de paix les matières premières ne manque pas, dès l’attaque de Pearl Arbor une partie non négligeable de l’import asiatique fût immédiatement coupé… Ce qui engendra pas mal de problème de production et un rationnement presque immédiat. (Le sujet est partiellement traité sur ce site dans la page réservé au rationnement civil américain).
Mr Cestre, n’a de cesse ensuite de vanter l’ingéniosité américaine, sa capacité à inventer des machines qui remplace l’ouvrier et tous les avantages qui en découlent. Il décrit brièvement le plein emploi et les 40heurs de travails par semaine et précise qu’ils existent d’autre travail moins abêtissants (le travail à la chaine) pour « les ouvriers capable d’initiative intellectuelle ou d’habilité hors du commun » Pour ces génies des ″Gens simples″ ils peuvent tout à fait travailler dans les usines de fabrication de machines… et continue quelques lignes sur les ouvriers avant d’entamer un discours afin de comparer le travail américain à l’artisanat français. Par ailleurs il affirme que les grands artisans français qui se sont expatriés dans le nouveau monde ont rapidement perdu de leur qualité d’initiative et d’invention… On serait curieux de voir ces sources et références à ce sujet…
Le sujet revient sur les ouvriers puis change pour les manières des riches entrepreneurs avec leurs ″rationalisations″, les trusts & le capitalisme. C’est aussi l’occasion d’ovationner les deux présidents Roosevelt pour leurs politiques (Théodore et Franklin) et de faire une petite pique sur le socialisme. Petite phrase qui ouvre la voie, puisqu’il affirme que la classe ouvrière ne penche pas sur le socialiste ou le communiste car elle est suffisamment payée ! (tiens donc..). Seul le syndicalisme leurs sont suffisant pour veiller à avoir leurs parts… Puis ont dérive sur la spéculation : boursière, agricoles etc.. jusqu’au crash de 1929 et quelques défaut du rouage du capitalisme pour ensuite finir sur la parfaite entente entre le patronat et la masse salariale. Et d’après Mr Cestre, cela est possible du fait que les patrons payeraient grassement leurs ouvriers, qui de leurs côté ont arrêté… de se plaindre. Dans les usines américaines, les réfectoires ressembles à des salons d’hôtels ! Des hôpitaux sont construits à côté des usines pour l’unique usage des ouvriers et de leurs familles ! des Bibliothèques sont érigés et des cours du soir sont instauré et comble du bonheur le patronnat donne aux ouvriers des actions de l’entreprise ! Qu’elle monde paradisiaque… Bon vous me voyez venir : Il se peut qu’il prenne en référence aux usines Ford de Détroit (Michigan) par exemple. Henry Ford fit beaucoup pour ces ouvriers et son entreprise, mais de là à affirme quelques cas pour certaines entreprises disséminés dans le pays pour une généralité…. Le Professeur à franchi le pas !
Il traite longuement de la crise économique qui toucha les U.S.A (je vous délivre de la longueur du texte) et précise notamment que les Etats-Unis devrait prendre en exemple ″les traditions et la prudence de la France″ quand à l’industrialisme… Mais une page après, il nous pond un joli :
Chapitre IV :
L’américain au travail
On démarre fort avec l’exemple de la machine de guerre américaine : là où l’Allemagne à mis 20 ans à cumuler chars et avions, les U.S.A ont mis seulement quelques mois ! Ce qui n’est pas totalement faux techniquement, mais par un de ces raccourcis aux petits oignons, dit-il visiblement sans sourciller, que l’Amérique n’avait pas d’armée avant l’entrée en guerre ! Les américains ont dût l’apprécier celle-là. A contrario, s’il y a bien une armée en tant de paix, toutes les unités n’étaient pas encore équipées de véhicules blindées et d’armes de derniers cris. Je pourrais citez par exemple quelques unités de cavalerie dont la moitié de l’effectif était monté sur des chars légers et l’autre moitié… sur des chevaux et qui ont bien failli être déployé dans cette configuration...
Mais par un autre raccourcis, le professeur avance fermement que cela fût possible parce que le pays à en abondance toutes les matières première nécessaire pour cela, là encore c’est un raccourci quelques peu facile, effectivement si en tant de paix les matières premières ne manque pas, dès l’attaque de Pearl Arbor une partie non négligeable de l’import asiatique fût immédiatement coupé… Ce qui engendra pas mal de problème de production et un rationnement presque immédiat. (Le sujet est partiellement traité sur ce site dans la page réservé au rationnement civil américain).
Mr Cestre, n’a de cesse ensuite de vanter l’ingéniosité américaine, sa capacité à inventer des machines qui remplace l’ouvrier et tous les avantages qui en découlent. Il décrit brièvement le plein emploi et les 40heurs de travails par semaine et précise qu’ils existent d’autre travail moins abêtissants (le travail à la chaine) pour « les ouvriers capable d’initiative intellectuelle ou d’habilité hors du commun » Pour ces génies des ″Gens simples″ ils peuvent tout à fait travailler dans les usines de fabrication de machines… et continue quelques lignes sur les ouvriers avant d’entamer un discours afin de comparer le travail américain à l’artisanat français. Par ailleurs il affirme que les grands artisans français qui se sont expatriés dans le nouveau monde ont rapidement perdu de leur qualité d’initiative et d’invention… On serait curieux de voir ces sources et références à ce sujet…
Le sujet revient sur les ouvriers puis change pour les manières des riches entrepreneurs avec leurs ″rationalisations″, les trusts & le capitalisme. C’est aussi l’occasion d’ovationner les deux présidents Roosevelt pour leurs politiques (Théodore et Franklin) et de faire une petite pique sur le socialisme. Petite phrase qui ouvre la voie, puisqu’il affirme que la classe ouvrière ne penche pas sur le socialiste ou le communiste car elle est suffisamment payée ! (tiens donc..). Seul le syndicalisme leurs sont suffisant pour veiller à avoir leurs parts… Puis ont dérive sur la spéculation : boursière, agricoles etc.. jusqu’au crash de 1929 et quelques défaut du rouage du capitalisme pour ensuite finir sur la parfaite entente entre le patronat et la masse salariale. Et d’après Mr Cestre, cela est possible du fait que les patrons payeraient grassement leurs ouvriers, qui de leurs côté ont arrêté… de se plaindre. Dans les usines américaines, les réfectoires ressembles à des salons d’hôtels ! Des hôpitaux sont construits à côté des usines pour l’unique usage des ouvriers et de leurs familles ! des Bibliothèques sont érigés et des cours du soir sont instauré et comble du bonheur le patronnat donne aux ouvriers des actions de l’entreprise ! Qu’elle monde paradisiaque… Bon vous me voyez venir : Il se peut qu’il prenne en référence aux usines Ford de Détroit (Michigan) par exemple. Henry Ford fit beaucoup pour ces ouvriers et son entreprise, mais de là à affirme quelques cas pour certaines entreprises disséminés dans le pays pour une généralité…. Le Professeur à franchi le pas !
Il traite longuement de la crise économique qui toucha les U.S.A (je vous délivre de la longueur du texte) et précise notamment que les Etats-Unis devrait prendre en exemple ″les traditions et la prudence de la France″ quand à l’industrialisme… Mais une page après, il nous pond un joli :
Chapitre V :
La politique et la Religion
On débute fort avec les premières lignes où il précise que le peuple élit et DIRIGE son gouvernement…
Voilà, voilà…
Mais que le peuple américain à ce pouvoir grâce au suffrage universel…
Faux… Le vote américain est un vote indirect qui permet d’élire des grands électeurs qui à leurs tours voteront pour élire le président et ce depuis près de 200 ans maintenant. Nous prendrons pour exemple, la victoire récente de Donald Trump face à Hillary Clinton : Hillary Clinton a reçu 200 000 voix de plus que son adversaire, mais celui-ci à plus de grands électeurs, ce qui lui donna accès à la maison blanche. Bref, passons ce point.
On rebondi sur la très belle phrase disant qu’il n’y a pas de lutte des classe, mais que cependant la lutte des partis politique est ″assez vif″… Pas de lutte des classes… le paradis…
Puis notre bon professeur explique le système politique américain, et comme toujours, manie la vérité, les raccourcis et les erreurs, voir les mensonges… Tous y passent : les fonctionnaires, les votants, les chefs de parti politique, les juges etc… Mais aussi les mauvais côté comme les bons.. Surtout les bons (et l’exagération..).
Puis sans prévenir, Charles Cestre passe sur la religion : les descendants des Pères pélerins à l’Est du Pays qui ″donne le tons″ à la religion … Mais ″fort heureusement la religion c’est adapté à l’esprit moderne″…Bon on est loin du puritanisme et de la chasse aux sorcières, mais de là à parler de modernisme...
Il passe rapidement sur les différents courants : Baptiste, Presbytériens, Méthodistes, Baptistes etc… Une occasion de traiter des ″sectes″ comme le Quakers, qui n’est pas une secte. Mais qu’importe, c’est plutôt vendeurs de les associés aux Chrétiens Scientistes (Ne pas confondre avec l’Église de Scientologie) dont le sectarisme est sujet à débat… Mais le plus étonnant est le fait que le professeur Cestre affirme que la religion ne prend pas dans la majorité des cas un caractère ardent et passionné et que les américains ne vont à l’église probablement que par habitude pour obtenir 2 heures de paix spirituel… A ce demandé s’il est vraiment allez aux U.S.A… Mais paradoxalement, il donne tous les exemples d’une religion omniprésente et influente… Nous ne savons plus sûr qu’elle pied danser avec ses propos.
Chapitre VI :
L’Âme Américaine
Le meilleur résumé qui me vient à l'esprit est celui-ci, à l'image du reste du contenue du livre:
La politique et la Religion
On débute fort avec les premières lignes où il précise que le peuple élit et DIRIGE son gouvernement…
Voilà, voilà…
Mais que le peuple américain à ce pouvoir grâce au suffrage universel…
Faux… Le vote américain est un vote indirect qui permet d’élire des grands électeurs qui à leurs tours voteront pour élire le président et ce depuis près de 200 ans maintenant. Nous prendrons pour exemple, la victoire récente de Donald Trump face à Hillary Clinton : Hillary Clinton a reçu 200 000 voix de plus que son adversaire, mais celui-ci à plus de grands électeurs, ce qui lui donna accès à la maison blanche. Bref, passons ce point.
On rebondi sur la très belle phrase disant qu’il n’y a pas de lutte des classe, mais que cependant la lutte des partis politique est ″assez vif″… Pas de lutte des classes… le paradis…
Puis notre bon professeur explique le système politique américain, et comme toujours, manie la vérité, les raccourcis et les erreurs, voir les mensonges… Tous y passent : les fonctionnaires, les votants, les chefs de parti politique, les juges etc… Mais aussi les mauvais côté comme les bons.. Surtout les bons (et l’exagération..).
Puis sans prévenir, Charles Cestre passe sur la religion : les descendants des Pères pélerins à l’Est du Pays qui ″donne le tons″ à la religion … Mais ″fort heureusement la religion c’est adapté à l’esprit moderne″…Bon on est loin du puritanisme et de la chasse aux sorcières, mais de là à parler de modernisme...
Il passe rapidement sur les différents courants : Baptiste, Presbytériens, Méthodistes, Baptistes etc… Une occasion de traiter des ″sectes″ comme le Quakers, qui n’est pas une secte. Mais qu’importe, c’est plutôt vendeurs de les associés aux Chrétiens Scientistes (Ne pas confondre avec l’Église de Scientologie) dont le sectarisme est sujet à débat… Mais le plus étonnant est le fait que le professeur Cestre affirme que la religion ne prend pas dans la majorité des cas un caractère ardent et passionné et que les américains ne vont à l’église probablement que par habitude pour obtenir 2 heures de paix spirituel… A ce demandé s’il est vraiment allez aux U.S.A… Mais paradoxalement, il donne tous les exemples d’une religion omniprésente et influente… Nous ne savons plus sûr qu’elle pied danser avec ses propos.
Chapitre VI :
L’Âme Américaine
Le meilleur résumé qui me vient à l'esprit est celui-ci, à l'image du reste du contenue du livre:
En résumé :
Comme vous l’aurez compris à la lecture de cette critique, il ne faut en aucun cas prendre ce qui est écrit pour argent comptant… Ce qui est dommage quand on pense que l’auteur est censé être spécialiste du sujet… Pourquoi avoir écrit de tel ineptie pour quelqu’un qui semble t’il est reconnue dans ce domaine. Est-ce qu’il fût payé? Est-ce un de ses étudiants qui à pondue cela? Était-il malade? Ou est-ce une commande pour la propagande ?
Je ne saurais vous le dire… Mais ces propos racistes et élitistes laissent dubitatifs quand à la destination de cet "ouvrage".
Quoi qu’il en soit, le livre est une pièce de collection de la 2e Guerre Mondiale, surtout pour illustrer une vitrine ″civile″ lors de la Libération, comme une petite pièce sympathique…. Il se marierait aussi bien dans une bibliothèque de documents et livres de guerre aussi…Il se trouve plus ou moins facilement pour un prix raisonnable.
J'espérait vraiment tomber sur quelques choses qui serait au final humoristique, à la hauteur des clichés américains sur les guides officiels de l'Armée qui ont été distribués aux soldats... Car ceux-ci ne partait pas d'un mauvais fond.
Mais voilà....à défaut d'un beau contenu, j'ai une belle couverture (qui pour le coup est plutôt la partie la plus sympathique du livre) pour agrémentez mes autres pièces.
Comme vous l’aurez compris à la lecture de cette critique, il ne faut en aucun cas prendre ce qui est écrit pour argent comptant… Ce qui est dommage quand on pense que l’auteur est censé être spécialiste du sujet… Pourquoi avoir écrit de tel ineptie pour quelqu’un qui semble t’il est reconnue dans ce domaine. Est-ce qu’il fût payé? Est-ce un de ses étudiants qui à pondue cela? Était-il malade? Ou est-ce une commande pour la propagande ?
Je ne saurais vous le dire… Mais ces propos racistes et élitistes laissent dubitatifs quand à la destination de cet "ouvrage".
Quoi qu’il en soit, le livre est une pièce de collection de la 2e Guerre Mondiale, surtout pour illustrer une vitrine ″civile″ lors de la Libération, comme une petite pièce sympathique…. Il se marierait aussi bien dans une bibliothèque de documents et livres de guerre aussi…Il se trouve plus ou moins facilement pour un prix raisonnable.
J'espérait vraiment tomber sur quelques choses qui serait au final humoristique, à la hauteur des clichés américains sur les guides officiels de l'Armée qui ont été distribués aux soldats... Car ceux-ci ne partait pas d'un mauvais fond.
Mais voilà....à défaut d'un beau contenu, j'ai une belle couverture (qui pour le coup est plutôt la partie la plus sympathique du livre) pour agrémentez mes autres pièces.